Après causer des victimes en Chine et en Italie, on le voyait proche, mais on ne pensait jamais qu'il arriverait ici. Mais oui il faisait deux mois que l'alarme avait sonné. En début de l'année on discutait auprès d'un cours de conversation avec Chantal. Je ne m'imagine qu'une ville comme Barcelone puisse fermer, c'était mon commentaire. Il dévrait le faire c'était la réponse d'une camarade.
Le 15 février 2020 on a lu la deuxième notification du virus, une affiche à l'ascenseur du cabinet médicale indiquait s'il y avait des personnes arrivant de la Chine, ils dévraient se rendre sur le comptoir. On a rigolé, on ne se prend ici rien jamais au sérieux. Mais ne pas pour la graveté du sujet. Un affiche sur l'ascenseur était un peu comme une note quelconque : Une jeune fille rigolait ensemble. On dirait que pour sa peau d'un belle couleur noir et son visage aurait un origine cubaine. - Mais non, mon nom est Busquets, je suis d'ici. Bon mon père il est d'Ohio ! Elle est allée vers l'autre côté de la salle, mais son médecin avait le cabinet près du mien. Après se'n rendre compte elle est venue. On a rigolait une fois de plus.
La troisième mauvaise nouvelle de cette maladie inconnue jusqu'à ce moment-là a touché le Centre EOI du Prat. Un lundi de mars on a regardé le portable. Message urgent. Une personne infectée. Le Centre fermera jusqu'à fin mars. Les doutes commencent a envahir la tête.
La cascade de nouvelles sont pires à chaque jour jusqu'à la mésure la plus dure du confinement. Il faudra s'habituer à cette situation.
No hay comentarios:
Publicar un comentario